Lady Elza, Tome 2 : La vente Coco Brown
Jean Dufaux

Glénat
février 2014
56 p.  13,90 €
 
 
 
 La rédaction l'a lu

God save Lady Elza

Rien ne résiste à Lady Elza.
Ce n’est pas une aventurière, une espionne, une femme flic, une avocate…
C’est mieux!
Lady Elsa est une femme libre, indépendante, curieuse, excentrique, divorcée…
Elle cherche un appartement près de Buckingham Palace, dernier étage avec ascenseur, vue dégagée, parc privatif et trois chambres. Avec dressing, bien entendu ! Il reste une possibilité: la vente de l’appartement de Coco Brown,  un journaliste qui travaillait pour Jason Theaser, le roi des chasseurs de scoops. Il devait apporter des révélations propres à déstabiliser la famille royale !
On l’a retrouvé mort dans son appartement. Pas de trace de l’assassin, ni des documents qu’il devait transmettre.
Cet appartement ne peut qu’intéresser Lady Elsa….
Un réel plaisir de retrouver cette héroÏne si pétillante qui plonge avec complicité dans les situations les plus scabreuses pour trouver un logement. Bien sûr Lady Elza ne peut vivre qu’à Londres.Le scénario de Jean Dufaux est un peu tiré par les cheveux mais on se régale vraiment des situations et des personnages attachants et rocambolesques. On rit, on s’amuse avec cette ingénue. On peut partir sur les pas d’Elsa la Coquine (elle possède 400 paires de chaussures et des jambes longues comme un jour sasn pain…) et passer un bon moment dans ce Londres souvent sombre. La ville et tous ces personnages sont joliment dessinés par Philippe Wurm et colorés par Benoit Beckaert.

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