Wilt 1
Tom SHARPE

Traduit par François Dupuigrenet Desroussilles
10/18
août 2005
288 p.  7,50 €
 
 
 
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Tom Sharpe m’a beaucoup fait rire

Tom Sharpe m’a beaucoup, beaucoup fait rire. Je viens d’apprendre sa mort, à l’âge de 85 ans, en Espagne. Plutôt que de me lamenter, je vais essayer de vous faire rire avec moi en remontant, depuis le début, la saga de Wilt. Ce qui n’est pas rien. Cinq volumes irrésistibles…
Wilt, 1 à 3
En 1976 vint Wilt : Chaque fois qu’Henry promenait son chien ou, pour être plus précis, chaque fois que son chien l’emmenait promener ou, pour être exact, chaque fois que Mrs Wilt leur enjoignait de débarrasser le plancher car c’était l’heure de ses exercices de yoga, il suivait invariablement le même chemin.
Première phrase programmatique. Wilt est affublé d’une épouse qu’il déteste et qu’il envisage très sérieusement de tuer. En répétant son futur crime sur une poupée gonflable qui lui a valu des ennuis, il déclenche une imprévisible série de catastrophes.
Dans le deuxième volet, cet homme fidèle par peu de goût pour la gymnastique sexuelle tombe raide dingue d’une jeune fille au pair. Mal lui en prend : elle se révèle une bombe au sens premier du mot, avec tout ce que cela implique de terrorisme actif.
Et, dans le troisième tome, une étudiante de son lycée est retrouvée morte par overdose dans la chaufferie de l’établissement. Il suffit de quelques contradictions bénignes dans les déclarations de Wilt pour que celui-ci aggrave son cas. Et se transforme en dangereux espion sur une base américaine…
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