Parle-moi du sous-sol
Clotilde Coquet

Fayard
ao?t 2014
216 p.  17 €
 
 
 
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on n'aurait pas dû

Tristesse et résignation

Comment parler d’un livre qui m’a ennuyée. Oui, c’est un livre réaliste que d’aucun relie à Zola et Au bonheur des dames, oui, il y a beaucoup d’heures d’observations, oui, c’est réaliste, oui c’est bien écrit… MAIS, voilà, la vie terne de la narratrice n’a pas su m’émouvoir.
Purée, comment peut-elle accepter ce mec qui n’en branle pas une parce que « grand-acteur-incompris », enfin plutôt, gros feignant immature ? Comment ne se bât-elle pas pour réaliser ses rêves ? C’est horrible d’avoir fait toutes ses années d’étude pour se retrouver caissière sans d’autres rêves à réaliser, sans plus aucun rêve et ce, avant d’avoir essayé quelque chose. Je sais qu’il est dur, voire très dur de reprendre son mémoire après une journée harassante, mais d’autres l’ont fait, le fond, alors pourquoi ce postulat ?
Ce livre n’est que tristesse et résignation et je crois que je ne l’ai pas admis. Les renards de la couverture, même attachés, essaieront de se libérer de leurs entraves. Dans le genre, j’ai préféré les tribulations d’une caissière.

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